Votre hypnothérapeute Hypnophil peut vous aider pour votre confiance en soi, découvrir vos ressources inconscientes, et développer vos potentiels, pouvoir oser et entreprendre.
La confiance en soi est l'une des principales clés pour ouvrir la porte du bonheur, alors que son absence, fréquente hélas, est la cause de beaucoup de frustrations, de limitations, de regrets, empêchant d’ouvrir cette porte.
Personnes reçues pour la confiance en soi
Le plus beau cadeau qu'un parent puisse faire à son enfant, c'est de l'aider à développer la « confiance en soi », cette confiance qui permet d'oser, de faire, d'expérimenter, d'entreprendre, d'aller là où l'on en a envie, cette confiance en soi qui autorise à se tromper pour apprendre et recommencer.
On peut même constater comment parfois l'intelligence peut se trouver totalement bloquée et quasi inutile, si la confiance en soi est absente.
On ne se souvient pas de nos premiers âges, de nos premiers pas et tant d’autres premières fois, et de tous les échecs qui vont avec, mais si vous avez des tous petits dans votre entourage, vous pouvez observer que tous les enfants ont confiance en eux, certains déjà hardis et d'autres plus timorés certes.
Malgré que les premières années de vie soient empreintes d’échecs, de chutes et de bobos, à chaque fois l'enfant insiste, recommence, persévère, il apprend, déterminé à réussir. L'enfant n'envisage jamais de ne pas y arriver !
Le positif appelle le positif !
À proprement parler, la « confiance en soi », c'est « se sentir capable de faire quelque chose » (accepter des responsabilités, parler en public, faire la cuisine pour 10 personnes, ou escalader l'Everest).
Le manque de confiance en soi, peut être partiel, c'est-à-dire ne s'appliquer que dans certains domaines, ou plus global, généralement indicateur d’une dévalorisation plus profonde.
Mais la confiance en soi, ça parle aussi de confiance tout court, c’est à dire de sécurité, du fait de se sentir en sécurité. Si je peux faire confiance à quelqu'un, je ne crains pas d'être jugé, et mon action ne s’en trouve pas limitée ou impossible.
Sans confiance en l’autre il n’y a plus de relation possible, sans confiance en soi il n’y a plus de relation positive, efficace entre les différentes parties de soi, ça se fige, on voit alors se développer ce que le célèbre hypnothérapeute canadien Gaston Brosseau appelle « la sclérose en place ».
La confiance en soi innée, puis celle acquise par nos apprentissages précoces, s’altère malheureusement avec l'éducation (parents, école, société, etc.), peu à peu des doutes apparaissent, s'immiscent, et s’installent, jusqu'à parfois prendre une place énorme dans nos esprits. Insidieusement, les doutes, les peurs imaginaires (souvent) prennent le dessus, du fait de jugements, de critiques, de paroles négatives, qui freinent, qui bloquent, qui « castrent » l’enfant dans son désir d’aller de l’avant.
À quoi s’ajoute les projections des adultes sur l'enfant (là aussi, parents, école, société, etc.), l'adulte ne peut s'empêcher de projeter ses peurs, ses rêves ou ses ambitions sur son enfant, en plus de la nécessité de leur donner un cadre, des limites ; et l'enfant finit par percevoir, par ressentir l’idée d’un « enfant idéal » qui lui faudrait être, objectif inatteignable bien sûr. Et progressivement se développe, la peur de décevoir, de ne pas être à la hauteur, de ne pas être « comme il faudrait ».
Le système scolaire quant à lui, met en avant « les bons », punit « les mauvais », et souligne de façon permanente les erreurs, au lieu de souligner les réussites, renforçant de plus en plus le doute, la peur de mal faire, de décevoir, et la conviction de ne pouvoir y arriver.
Intervient alors une particularité de fonctionnement de notre cerveau, « ce que je crois est toujours plus fort que la réalité ! », et si j’ai accepté petit à petit que je n’étais « pas bon », « pas doué », les compliments, les félicitations, les encouragements ont tendance à me glisser dessus, comme la pluie sur les plumes du canard, et la croyance en notre incompétence se développe malgré tout, et agit comme autant de prédictions auto-réalisatrices ; « je te l’avais bien dit que je n’y arriverais pas ! »
Le négatif appelle le négatif !
Au passage, on peut souhaiter qu’un jour peut être, le système éducatif prendra en considération le conseil de Milton Erickson, qui préconisait la « pédagogie du stylo vert » et non du stylo rouge.
Imaginez un instant : L’instituteur vous rend votre dictée de 100 mots, avec 20 mots soulignés en rouge, et une copie de la même dictée avec 80 mots soulignés en vert … Quelle copie voudriez-vous regarder ? Et quelle énorme différence pour la confiance en soi ?. Qu’en pensez-vous ?
Hélas le stylo rouge est toujours fidèle au poste !
Et puis gardons en mémoire la célèbre phrase du philosophe stoïcien Épictète : « Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, mais les jugements qu’ils portent sur les choses ».
Pour le travail sur le développement de la confiance en soi, il n’y aura pas que de l’hypnose. Un travail de réflexion sur ses valeurs est fondamental, ainsi qu’une mise en place de technique de contrôle de ses émotions.
L’hypnose quant à elle, sera fort utile pour nous détacher de nos programmations éducatives, qui nous ont donné à imaginer « la bonne personne qu’il nous faudrait être », pour laisser apparaître et se développer celle que nous avons réellement envie d’être.
Et c’est d’autant plus nécessaire que les valeurs de la société, ses codes changent et s’inversent même plus rapidement que le temps d’une vie.
L’hypnose va permettre également de travailler sur le fait de ne plus dépendre du regard des autres, et de penser par soi-même, en capitalisant sur tous nos apprentissages précoces, sur tous nos succès, nos réussites dans de nombreux domaines, tout ce que nous avons appris à faire, même si au début de l’apprentissage ça nous paraissait insurmontable, et qu’aujourd’hui des choses se font sans même que nous les contrôlions, sans aucune difficulté, c’est si facile quand on sait, et progressivement ancrer dans nos esprits qu’il y a bien quelque-chose en nous qui sait réussir.
L’utilisation de contes, de métaphores en hypnose, permet également un travail en profondeur pour la mise à jour de nos logiciels internes. Et toujours grâce à l’hypnose, par l’utilisation de l’imaginaire du sujet, travailler sur la notion de sécurité intérieure, pour que se développe la sensation d’appuis solides, d’une force intérieure, travail qui va grandement influencer la persévérance, encore une fois, le positif appelle le positif.
L’hypnose va permettre également de se projeter dans la réussite future, dans une semaine, 1 mois, 5 mois, 5 ans pourquoi pas, avec toutes les bonnes sensations et les bonnes émotions qui vont avec la réussite.
Certaines personnes auront besoin de trouver des symboles et/ou des objets porte-bonheur, porteurs de chance, beaucoup de sportif le font de haut niveau le font !
Des points forts, des points faibles nous en avons tous, aussi est-il important de travailler nos points forts, il est plus facile de progresser là où je suis déjà fort, que de progresser là où je suis faible !